Wednesday 26 October 2011

Cédric Klapisch: Les poupées russes

J’ai vu le visage d’acteur dans le DVD. Il m’a semblé plutôt mignon, moins de côté beau, plus de côté sympathique. J’ai lu la déscription, il qui entre dans la trentaine et ses recherches, où plutôt, il cherche elle, une femme pour la vie. A la fin, il n’est pas seul dans sa recherche. Sa ancienne copaine cherche un prince, sa mère aussi. Là, j’avais une impression comme nous sommes tous les mêmes, tous dans cette recherche.

Au début, c’est à Paris, après, il tombe amoureux d’une fille à Londres, une qu’il connais déjà longtemps. Il tombre amoureux d’une autre, une super-modèle. L’histoire va vers la Russie, Moscou et Sankt Petersburg. Le jeune homme doit décider entre l’image idéale d’une femme et une femme réele. Un peu comme Richard Bach dans sa recherche de la femme idéale dans le livre dont j’ai oublié le titre.

J’avais beaucoup de sympathie, même empathie pour cet homme. En fait, il est seulement deux ans plus jeune que moi, il est comme moi en train de entre dans la maturité. J’ai pû sentir dans le film cet appartenance au espace européen. Je m’ai souvenu que j’ai vécu les histoires similaires, j’ai pû reconnaître les comportements d’un jeune mari qui organise le marriage intérnational, sa soeur qui est dans une rélation auto-déstructive, le joie de marriage quand les gens sont assez naïves et honetes.

C’est incroyable comment le film m’a montré les conflicts intérieurs que j’ai en ce moment, comme nous vivons dans les contes des fées avant que nous admettons que la vie nous demande plus de courage que un prince à besoin de montrer dans un conte.

Le protagoniste principal, il est un peu comme quelqu’un au qu’il fallait aspirer, sensitive, gentil, qui se battre quand il faut, qui devient con s’il n’est pas honète avec les autres. La scène la plus drôle est peut-être celle quand il presènte sa copine lesbienne comme la fiancé à son grand-père trop curieux. Célà est vraiment original, un des trucs qui me montre où je vis, que Paris et Zagreb sont les villes très différents. La scène du marriage à Sankt Petersburg, quand les différents gens de ma génération fécilitent aux jeunes marriés, dans les langues différents, avec les accents en anglais de leur pays, c’est là que je vois que je appartiens à ce continent. Trailer

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