Monday 31 October 2011

Les auteurs différents: Paris, je t’aime

Je ne croyais pas qu’un tel film existe. Une telle richesse des histoires et de caractères. Oui, c’est un peu trop franco-britannique et trop franco-américain, mais comme même. J’ai une impression que pour donner la vie, ou un voix à une ville, il est nécessaire d’avoir une multitude des auteurs avec les perspectives très différents. Si non, la ville est telle de la solitude. Ca ce n’est pas très grave non plus. J’ai pleuru le plus à la fin. L’image d’une femme qui vient à Paris pour la première fois, qui a appris la langue pendant deux années et qui a tellement de l’humilité qui l’a donne la chance de voir le splendeur de la ville. Quelque fois je me suis senti que toutes les villes sont de mêmes, que les couleurs du jour et de la nuit sont un peu similaire partout. Et c’est vrai. Mais, il y a des villes qu’on connait, et ceux qu’on ne connaît pas. Moi, je connaîs Paris et je veux le connaître encore plus. Quelques amours dans la vie sont pour toujours. Trailer

Wednesday 26 October 2011

Cédric Klapisch: Les poupées russes

J’ai vu le visage d’acteur dans le DVD. Il m’a semblé plutôt mignon, moins de côté beau, plus de côté sympathique. J’ai lu la déscription, il qui entre dans la trentaine et ses recherches, où plutôt, il cherche elle, une femme pour la vie. A la fin, il n’est pas seul dans sa recherche. Sa ancienne copaine cherche un prince, sa mère aussi. Là, j’avais une impression comme nous sommes tous les mêmes, tous dans cette recherche.

Au début, c’est à Paris, après, il tombe amoureux d’une fille à Londres, une qu’il connais déjà longtemps. Il tombre amoureux d’une autre, une super-modèle. L’histoire va vers la Russie, Moscou et Sankt Petersburg. Le jeune homme doit décider entre l’image idéale d’une femme et une femme réele. Un peu comme Richard Bach dans sa recherche de la femme idéale dans le livre dont j’ai oublié le titre.

J’avais beaucoup de sympathie, même empathie pour cet homme. En fait, il est seulement deux ans plus jeune que moi, il est comme moi en train de entre dans la maturité. J’ai pû sentir dans le film cet appartenance au espace européen. Je m’ai souvenu que j’ai vécu les histoires similaires, j’ai pû reconnaître les comportements d’un jeune mari qui organise le marriage intérnational, sa soeur qui est dans une rélation auto-déstructive, le joie de marriage quand les gens sont assez naïves et honetes.

C’est incroyable comment le film m’a montré les conflicts intérieurs que j’ai en ce moment, comme nous vivons dans les contes des fées avant que nous admettons que la vie nous demande plus de courage que un prince à besoin de montrer dans un conte.

Le protagoniste principal, il est un peu comme quelqu’un au qu’il fallait aspirer, sensitive, gentil, qui se battre quand il faut, qui devient con s’il n’est pas honète avec les autres. La scène la plus drôle est peut-être celle quand il presènte sa copine lesbienne comme la fiancé à son grand-père trop curieux. Célà est vraiment original, un des trucs qui me montre où je vis, que Paris et Zagreb sont les villes très différents. La scène du marriage à Sankt Petersburg, quand les différents gens de ma génération fécilitent aux jeunes marriés, dans les langues différents, avec les accents en anglais de leur pays, c’est là que je vois que je appartiens à ce continent. Trailer

Sunday 23 October 2011

Julie Delpy: 2 jours à Paris

Le film est drôle, curieux et amusant. J’ai appris beaucoup sur Paris en le regardant. J’ai appris beaucoup sur le choc culturel entre les Américans et les Français et les gens qui vivent dans le pont entre ces deux cultures.

Mais, à la fin, ce sont les adults qui ont 35 ans. Une telle histoire entre les adultes d’âge 35, c’est simplement trop. Oui, je juge, oui, je juge les charactères qui n’existent pas dans la réalité. Mais, je ne peux pas échapper cet impression.

Il, un Américan et elle, une Française se trouvent à Paris, en retour de leur voyage en Italie. On entre dans le quotidien et le passé d’elle. Il est choqé et célà provoque une rupture à la fin. Elle est beaucoup plus sympathique que lui. Beaucoup plus naturel que lui. J’ai croyé qu’elle est aussi beaucoup plus mûr que lui. Mais, non, à la fin ce sont deux enfant à l’âge de 35 et là, il n’y a rien drôle, plutôt triste.

Les parents d’elle sont mérveilleux, un peu bizzares, mais vraimant sympa. Les copains anciens d’elle pas de tout.

C’est bien de voir l’echange linguistique dans le film, le français et l’anglais-l’américain se melangent entre les scènes et célà donne vraiment l’impression d’authéncitité. Peut-être c’est le première film où j’ai vu cet echange.

Bon, pour finir, à regarder! Bande annonce

Agota Kristof: Hier

C’est un roman très etrange, très intime, direct et honete. Un immigrant hongroise qui vit à Lausanne. La chose choqante était de reconnaître dans Tobias Horvath beaucoup de ma propre experiènce. C’est le blues d’un immigrant et la solitude qu’il resent. La Suisse montrée comme un pays où les gens sont tellement isolés un des autres. Cette froide humaine avec le calme de la nature, c’est vraiment vrai. Le sentiment d’être un robot dans une fabrique et le desir de sentir la vie par tomber amoureux avec un rêve en regardant une fille belle.

Dans le rêve, la Suisse devient plus belle, mais le rêve ne finit pas heureux, mais plutôt encore pire où la réalité est lourde de la simplicité méchanique.

Le livre commence avec une poème:
Hier tout était plus beau
la musique dans les arbres
le vent dans mes cheveux
et dans te mains tendues
le soleil

Bien sûr, j’ai choisi un livre de Agota Kristof, parce que j’ai voulu de entendre les vois de francophones qui n’ont pas le français comme la langue parentalle. De lire les livres comme ça me donne le courage d’écrire moi-même.

Claude Simon: Le tramway

Récement, j’ai découvert l’écriture de le Clézio et j’étais tellement impressioné par la simplicité de la langue. J’étais très méfiant, parce qu’il a gagné le prix Nobel et Sarkozy l’a saluté dans la pressé. Mais, à la fin, l’écriture était parfaite. Pour cette raison, j’ai ouvert la liste des gagnants du Prix Nobel et j’ai cherché un francophone qui est plus vieux que le Clézio. Là, j’ai trouvé Claude Simon et j’ai pris cet livre, Le tramway dans la Médiatheque française de Zagreb.

La langue était un peu difficile et j’ai compris beaucoup par l’intuition. Ce n’était peut-être pas un livre très inspiratif. Avec le tramway, qui est le lien entre la plage et la ville, l’auteur montre la société de la province française. Le nom de la ville est inconnu, la côté atlantique je dirais, parce qu’il n’y pas vraiment le chaleur dans le texte, c’est plutôt froide dans le texte.

Entre la ville et la plage sont les maisons des riches et par cet simple voyage on peut voir les inégalités qui sont la fait de la vie. C’était un peu deprimant, c’est un livre avec que je ne grandis pas, mais comme-même, elle detruit mes rêves que les autres sociétés sont plus avancés que la réalité que je vois autour de moi. S m’a demandé pourqoui je lirai un tel livre, et peut-être c’est ça, de perdre les illusions qui nous ne soulagent pas.

Tuesday 11 October 2011

Xavier Dolan: Les amour imaginaires

Je n’ai pas aimé le titre du film. Pourquoi une telle tristesse dans le titre? OK, je comprend maintenant. Nicolas est joli, avec les boucles d’or, il est tellement relaché. Je ne trouve pas l’acteur assez attirant, mais je comprend que les deux autres caractères, Francis et Marie, voient dans lui. C’est la légéreté d’existence, le façon comment il se comporte, le façon comment les caractères se sentent quand il sont près de lui.

A la fin, c’est déstructive, quand l’attirance, quand l’amour n’est pas reciproque. On ne peux pas explique une telle attirance, on peut seulement observer l’évolution. J’ai beaucoup de sypmathie pour les deux autres acteurs. La position quand on adore quelqu’un. Là, encore, ce n’est pas moche. Mais, quand notre attirance est abusé, là, c’est grave. Quand l’objet d’attirance se baigne dans l’adoration, quand il le prend comme quelque chose naturel, là, c’est le problème.

Il y a une histore de Hermann Hesse où il parle d’un garçon qui est aimé par tout le monde et il devient très inhumain. Le caractère de Nicolas est un telle garçon. Aimé pour sa bauté et la légérété qui vient avec. L’adoration de Francis utilisé, même si Nicolas n’est pas gai, et l’adoration de Marie qui est repulsé.

Les couleurs, le style, tous ça dans le film. A+. Le Canada qui est belle comme l’opera italienne. Bande annonce