Tuesday 8 November 2011

Michel Ocelot: Dragons et princesses

Le jour s’achève la nuit arrive
C’est pour qu’on peut vivre un nouveau rêve
Nos rêves,
nous les décidons,
nous les déssinons,
nos rêves
nous les inventons
nous les habillons
nos rêves
nous les désirons
nous les construisons
nos rêves
nous les décidons
et nous les vivons.

Quand j’ai entendu cette petite chansone dans le première conte de fée, je me suis senti comme un enfant qui se prépare pour le sommeil. La fait que c’était le soir et j’étais dans mon lit m’a beaucoup aidé de s’immerger dans l’atmosphere et la logique créatrice d’auteur. Maintenant, quand j’ai vu tous les contés, je suis à la fois triste, qu’il y a seulement dix, et à la fois content que le petit voix d’un petit garçon qui déssine ses propres contes est resté dans mon esprit. Maintenat, que je me ballade dans la rue, il me parle.

Je suis plus riche que avant. Les contes écrits par l’auteur, les contes du monde adapté par l’auteur, ils sont très différents l’une d’autre, mais l’espoir, la gentillesse, le bonheur, tous ça, ils partagent. Les protagonistes sont toujours les princes et les princesses contre les dragons, les défis de la vie et de l’ordre social, contre les rois et les pirates. Il y a toujours quelqu’un sage, quelqu’un avec plus d’experiènce qui aide aux ces deux jeunes (il y a aussi une fille qui dessine avec le garçon).

Quelques fois, les histoires m’ont apparus trop simple, mais à cause de sentiments des protagonists, la mélodie de leur voix et à cause de bonheur qui arrive avec chaque fin heureux, j’étais coinvancu. Maintenant, les histoires sont comme la référence de la possibilité du bonheur. Et le première conte, la Maîtresse des Monstres, c’est comme un rêve archetypique que j’avais besoin.

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