Ici, on suit l'histoire d'une femme française, Ethel, depuis son enfance entre deux guères mondiales, son adolescence à la vielle de la guère et une maturité profonde pendant la guère quand elle échappe Paris et fuit vers Nice. Mais tragédie n'est pas limité aux événements extérieurs, le drame existe aussi dans sa famille où son père perd la fortune et ils sont pratiquement ruinés. Un rayon du soleil est son amour avec un Anglais qui persiste la séparation de plusieurs années.
Les caractères sont divers. Son grand-père, M. Soliman est une personne mûr qui est comme-même capable à rêver. Sa meilleure amie à l'école, Xénia, est descendante d'une famille russe puissante. Elle a connu la richesse, mais après la révolution de 1917, sa famille a fuit la Russie et se retrouve à Paris où ils deviennent pauvres. Les réactions de Xénia et Ethel, face à la pauvreté, sont très différentes, mais je ne dis pas plus ici. Son père s'amuse avec ses amis au salon dans la rue du Cotentin et c'est là où on voit la réalité politique et l'opinion de la bourgeoisie face aux challenges sociaux (l'apparence de Hitler en Allemagne et le première gouvernement socialiste en 1936).
Enfin, c'est peut-être l'amitié entre Xénia et Ethel qui m'avait frappé le plus. Plus intense, plus intime que l'histoire d'amour entre Ethel et son petit ami anglais. Le livre est peut-être plus une chronique du temps que une histoire intime. C'est-à-dire que Ethel est plus quelqu'un passif, quelqu'un qui réagit seulement aux événements, sans la capacité de créer sa propre histoire. Il y a un extrait qui résume le point de vue d'auteur: On ne choisit pas son histoire. Elle t'est donnée sans que tu la cherches, et tu ne dois pas, tu ne peux pas la refuser.
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