Sunday, 7 March 2010
Jean-Marie G. Le Clézio: Onitsha
Ici, on suit le parcours d'une famille. C'est le père Geoffroy qui est tombé amoureux de l'Afrique et il y est parti pour trouver une civilisation ancienne, celle de la reine de Meroë. Geoffroy est anglais et pendant un séjour à Nice il rencontre Maou, une Italienne. Après un été intensif, ils se marient, mais le guère arrête leur histoire et ils vivent séparément jusqu'à la fin quand Maou commence son voyage vers Afrique, vers la ville Ontischa avec leur fils, Fintan, qui est maintenant un jeune garçon de environ 10 ans. Une fois à Onitsha, le rêve de bonne vie que Maou a imaginé auparavant, disparaît. Les relations entre eux sont pas harmonieux.
Pour Fintan, c'est simple de trouver l'amusements dans un pays magique. Il devient l'ami avec un garçon indigène et decouvre la magie de le fleuve qui passe à côté de Onitsha. Et c'est exactement le fleuve qui domine le paysage, qui domine aussi le roman. Lent et puissant comme le continent africain, le Clézio le suit jusqu'à point où je le sens à côté de moi. C'est un roman d'atmosphère où le paysage est vivant et omniprésent. Les Africains sont présents aussi, avec un style de la vie qui est plus naturelle, plus propre à la nature que les Anglais qui ne respectent pas les gens, ni la nature, ni leurs propres corps. Cette opposition devient plus forte quand Fintan part pour Rouyaume-Uni et voit là un autre style de la vie.
Avec ce deuxième livre j'ai trouvé encore une fois une histoire d'amour entre un anglophone et une francophone chez le Clézio. Quand j'ai lu sa biographie, j'ai trouvé une explication: il était né dans un tel couple. Il est bilingue, mais il a chiosi le français comme la langue de son écriture. Encore une fois, j'ai appris qu'il faut pas avoir un style complexe pour écrire avec la force et conviction.
Eric Neuhoff: Un bien fou
Un livre qui commence à décrire un séjour de Maud et son copain, qui est aussi l'auteur, dans un ile en Italie. Là, pendant l'été, ils rencontrent un vieil homme américain avec sa petite-fille. Ils bavardent et déjeunent ensemble, mais rien d'important se passe. Quand le vieil homme est parti, il laisse un message où il dit son vrai nom. Il est vraiment Sebastian Bruckinger, un écrivain américain célèbre. Tous change. Le jeune couple est très excité lui avait rencontré. L'auteur lit tous ces romans, Maud commence à apprendre l'anglais. Ils préparent leur séjour aux Etats-Unis pour visiter Sebastian chez lui. Et là commence l'histoire quand les relations entre Maud, l'auteur et Sebastian changent.
Au début on a une impression que c'est vraiment un roman, mais on apprend que c'est vraiment une lettre destinée au Sebastian. Mais cette transition est faite très doucement. Au début de roman, l'auteur décrit sa première rencontre avec Maud, comment il est tombé amoureux d'elle. Derrière l'histoire on voit deux riches Parisiens qui habitent à VIème, tous les deux venus de la province. Il travaille dans le marketing et elle dans l'immobiliers. Pour lui, c'est la première fois qu'il aime quelqu'un et quand elle le laisse il ne supporte bien la séparation. On pourrait dire qu'il n'est pas mûr, mais l'apprentissage de l'amour est toujours difficile.
J'avais beaucoup plaisir en lisant ce livre. L'histoire se développe très doucement et l'auteur décrit en même temps le passe et l'avenir, tous les deux caché dans le mystère. La fin est aussi surprenante. La seule chose que je n'avais pas aimé c'est la nécessité que Sebastian est un écrivain célèbre. Je crois que l'histoire serait plus crédible. Mais beaucoup d'action reste sûr cette fait.
Le roman a reçu le Grand prix du roman de l'Académie française en 2001.
Jean-Marie G. Le Clézio: Ritournelle de la faim
Ernst H. Gombrich: The Story of Art
Michael Ende: Momo
Es gibt ein paar Elementen, die so einfach sind, aber zusammen machen diesen Zauber. Zum Beispiel ist das Mädchen Momo von dem Titel so fremd zu diesem Welt, nur weil alles dass sie tut, nur mit einem Ziel getan ist: sie hört zu. Eine einfache Aufgabe, aber sehr schwierig für uns andere, die von dieser Welt kommen. Dann kommt das Bild von grauen Herren, die verschiedene Sachen symbolisieren könnten: Arbeit, Macht, Ego, Fremdkeit zu der Welt, Geld usw. Wenn sie im Kopf von jedem Mensch kommen, verliert man Spaß in der Arbait: Ich kriege eben mein Geld und basta. Na ja, die Zeiten ändern sich. Früher, da war das anders bei mir, da war ich stolz auf meine Arbeit, wenn wir was gebaut hatten, was sich sehen lassen konnte. Aber jetzt . . . Irgendwann, wenn ich genug verdient hab, häng ich meinen Beruf an den Nagel und mach was anderes. Aber Momo kämpft mit den grauen Herren mit der Hilfe von ihren verschiedenen Freunden, wie Meister Horra, Schildkröte Kassiopeia, Gigi un Beppo.
Aber am Ende gibt es noch eine Gedanke, die viel tiefer und allgemeiner ist: Und alle Zeit, die nichgt mit dem Herzen wahrgenommen wird, ist so verloren wie die Farben des Regenbogens für einen Blinden oder das Lied eines Vogels für einen Tauben. Aber es gibt leider blinde und taube Herzen, die nichs wahrnehmen, obwohl sie schlagen.
Ich würde dieses Buch vorschlagen, als das erste Buch, dass jeder Mann, der Deutsch lernt, lesen sollte. Der Stil ist sehr einfach und das Buch bringt so viel Spaß. Ich bekomme die Lust, eine solche Geschichte zu schreiben.